1, rue d'Estienne d'Orves 94480 Ablon-sur-Seine
01 45 97 08 50
Sacré Coeur Ablon
Etablissement privée catholique sous contrat d'association avec l’État

William Shakeaspeare: Où ? Quand ? Comment ?

Tout le monde le connaît, grâce à sa pièce célèbre Roméo et Juliette, mais aussi Hamlet, La mégère apprivoisée, Le songe d’une nuit d’été et Le roi Lear pour les plus connues.

Il est né à Stratford-upon-avon, dans la région centre de l’Angleterre en avril 1564, à l’époque Elisabéthaine.

On possède peu de données précises sur la vie de Shakespeare. William et son cadet Edmund (né en 1580), qui le suit à Londres, deviendront acteurs.

William est probablement admis à l’école (grammar school) vers l’âge de quatre ans, et y apprend à lire. C’est seulement vers sept ans qu’il a pu bénéficier de la culture humaniste (comprenant l’enseignement du latin) de maîtres d’école issus, pour la plupart, d’Oxford. Lui-même ne fréquente pas l’université et sa culture est en partie autodidacte, à la différence de la plupart des dramaturges londoniens de son temps.

A dix-sept ans il est de retour à Stratford et fiancé à la fille d’un fermier de Shottery, Anne Hathaway qu’il épouse en 1582. Ils auront trois enfants.

On ignore à peu près tout de Shakespeare entre l’année de la naissance de ses jumeaux et celle où on le sait à Londres (1588). Y rencontra-t-il les comédiens du comte de Derby, lord Strange ? L’hypothèse est plausible, puisque ces acteurs appartiendront plus tard, comme Shakespeare lui-même, à la troupe du lord chambellan (chef de la maison de la reine). Shakespeare avait une famille à nourrir, et les acteurs pouvaient espérer s’enrichir en investissant dans la construction, toute nouvelle, de théâtres fixes et permanents, dont l’architecture s’inspire des cours d’auberge où se produisaient jadis les acteurs. Ainsi naquirent The Theatre en 1576, sur la rive nord, et plusieurs autres les années suivantes. Shakespeare aurait d’abord gagné de l’argent en gardant les chevaux des gentilshommes à la porte de ces théâtres. Ce qui est certain, c’est qu’il commence à écrire (la Mégère apprivoisée).

En 1592, il doit quitter la capitale, où il commençait déjà à se faire un nom grâce aux représentations de Henri VI, car une épidémie de peste se déclare, ce qui entraîne la fermeture des théâtres. Le voici donc écrivant de grands poèmes narratifs, Vénus et Adonis, poème érotique, et, dans un genre plus didactique, le Viol de Lucrèce. Ils valent à Shakespeare l’amitié et le soutien de Henry Wriothesley, comte de Southampton, dont les initiales W. H. laissent penser qu’il s’agit du dédicataire des Sonnets, publiés en 1609, mais composés en ces années.

L’argent rapporté par ces poèmes permet à Shakespeare d’acheter en 1594, l’année de la réouverture des théâtres, une part dans la compagnie d’acteurs du lord chambellan, qui vient de se constituer. L’activité créatrice de l’auteur prend alors un nouvel essor. La récente expérience lyrique se fait sentir dans les pièces de cette période : Peines d’amour perdues, le Songe d’une nuit d’été, qui, comme Roméo et Juliette, chantent le thème de la séparation des amants. La poésie entre dans l’histoire avec Richard II et Henri IV.

Premiers deuils, premiers succès

Shakespeare partage sa vie entre Stratford et Londres, où il choisit ses adresses selon leur proximité avec tel ou tel théâtre. À la fin de 1594, metteur en scène de la troupe du lord chambellan, il a écrit alors au moins deux comédies: la Comédie des erreurs, la Mégère apprivoisée et, sans doute, les Deux Gentilshommes de Vérone. Il termine sa première tétralogie historique, les trois parties de Henri VI, leur suite avec Richard III et le Roi Jean. La première tragédie, décrivant l’invasion de Rome par les Goths, Titus Andronicus, tempère une violence à la Sénèque par une veine poétique inspirée d’Ovide. Pour le dramaturge, la scène est une affaire fructueuse : également sociétaire de la troupe, il reconstitue la fortune familiale dès 1596.

Mais, la même année, meurt à l’âge de onze ans Hamnet, son seul fils. Quelques mois plus tard, le dramaturge reçoit le titre de gentilhomme et l’écusson jadis convoité, sans succès, par son père. Il acquiert la maison de New Place, à Stratford, en 1597. L’année suivante, le révérend et critique Francis Meres classe Shakespeare parmi les grands dramaturges élisabéthains. Célèbre à trente-quatre ans, il n’a pourtant encore écrit presque aucun de ses chefs-d’œuvre. Le Marchand de Venise et Beaucoup de bruit pour rien, comédies de la maturité, datent de cette époque.

Les pièces de Shakespeare sont jouées à la Cour, dans les palais royaux de Greenwich et de Whitehall, dans les associations de juristes (les Inns of Court), dans les nouveaux théâtres de Londres. Il manque un théâtre propre à la troupe du lord chambellan.

On pense que Shakespeare recommandait à ses acteurs, tout comme Hamlet (acte III, scène 2 de la pièce éponyme) et plus tard Molière dans l’Impromptu de Versailles, un jeu qui soit le plus naturel et le moins outré possible.

Rappelons qu’à l’époque (jusqu’à la réouverture des théâtres après la Restauration de 1660) aucune femme n’est autorisée sur la scène anglaise. Les rôles féminins sont tenus par des « boy actors », qui se travestissent donc avec aisance en garçons, pour les besoins de l’intrigue.

Le Globe, ce « O en bois »

Richard Burbage, théâtre du Globe, Londres
Richard Burbage, théâtre du Globe, Londres

À la suite d’une dispute entre le propriétaire du terrain du Theatre et les Burbage, comédiens qui l’avaient fait construire, le théâtre est démonté, et le bois transporté au sud de la Tamise. Ce bois servira à la construction du Globe, dont Shakespeare est l’un des actionnaires. Les trois étages de gradins couverts et le parterre peuvent accueillir 3 000 personnes. Shakespeare va désormais s’enrichir. La reine Élisabeth lui commande une suite comique pour Henri IV, avec Falstaff comme personnage central. Ce seront les Joyeuses Commères de Windsor.

Shakespeare termine la seconde tétralogie des histoires avec Henri V, où il fait mention de ce « O en bois », ce Globe tout neuf qui symbolise le monde. Jules César est l’une des premières pièces que l’on y joue. Les comédies Comme il vous plaira et la Nuit des rois sont écrites avec l’idée d’attirer au Globe le public raffiné des théâtres privés.

En 1601, le Globe est le lieu d’un drame politique : les partisans d’Essex paient la troupe du lord chambellan pour que soit joué Richard II, afin que la reine se reconnaisse dans l’image de ce roi déchu. Les acteurs de Shakespeare sortent indemnes de l’épreuve. Le rebelle Essex est exécuté, et le comte de Southampton emprisonné. La même année, le père de Shakespeare meurt. C’est l’année de Hamlet, drame du père mort et du théâtre révélateur de vérité.

Gustave Doré, Macbeth et les sorcières
Gustave Doré, Macbeth et les sorcières

En 1603, lorsque Jacques Stuart monte sur le trône, la troupe du lord chambellan devient celle du roi. Mais, de nouveau, la peste ravage Londres : les théâtres sont fermés, les acteurs redeviennent itinérants. Pourtant, en 1604, on retrouve Shakespeare à Londres, logé chez un protestant français réfugié. Ses comédies s’assombrissent : Tout est bien qui finit bien et Mesure pour mesure se rapprochent d’Othello par la thématique de l’épouse abandonnée ou calomniée. Bientôt, c’est la lande désenchantée du Roi Lear. Et pour Jacques Ier, absolutiste et superstitieux, mais ami des artistes, Shakespeare écrit Macbeth. L’honnête Banquo y est représenté comme l’ancêtre des Stuarts. Les dernières tragédies gréco-romaines – Antoine et Cléopâtre, Coriolan et Timon d’Athènes – trahissent un pessimisme politique et un sens tragique de l’isolement de l’individu. En 1608, année de la mort de sa mère, Shakespeare crée le personnage de Volumnia, la mère de Coriolan.

Cf Larousse.fr …

Le 23 avril 1616, à l’âge de 52 ans. Shakespeare est inhumé dans l’église de la Trinité, à Stratford-upon-Avon.

ouvrir un dossier d'inscription

Sélectionnez le niveau pour lequel vous souhaitez inscrire votre enfant à la prochaine rentrée scolaire.

Nous contacter

Vous pouvez le faire soit en nous téléphonant au 01 45 97 08 50, soit en nous envoyant un message avec le formulaire suivant.


Mentions légales

1. Présentation du site

En vertu de l’article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, il est précisé aux utilisateurs du site https://www.sacrecoeurablon.fr l’identité des différents intervenants dans le cadre de sa réalisation et de son suivi :

Propriétaire : OGEC du Cours du Sacré Coeur – Association de loi 1901 – 1, rue d’Estienne d’Orves 94480 Ablon sur Seine
Créateur : OGEC du Cours du Sacré Coeur
Responsable publication : Luc ORSERO – secretariat@sacrecoeurablon.fr
Webmaster : T – webmaster@sacrecoeurablon.fr
Hébergeur : OVH – 2 rue Kellermann – 59100 Roubaix

Crédits :

Damien PERPIGNAN – Webdesigner
Le modèle de mentions légales est offert par Subdelirium.com Générateur de mentions légales

2. Conditions générales d’utilisation du site et des services proposés

L’utilisation du site https://www.sacrecoeurablon.fr/ implique l’acceptation pleine et entière des conditions générales d’utilisation ci-après décrites. Ces conditions d’utilisation sont susceptibles d’être modifiées ou complétées à tout moment, les utilisateurs du site https://www.sacrecoeurablon.fr sont donc invités à les consulter de manière régulière.

Ce site est normalement accessible à tout moment aux utilisateurs. Une interruption pour raison de maintenance technique peut être toutefois décidée par OGEC du Cours du Sacré Coeur, qui s’efforcera alors de communiquer préalablement aux utilisateurs les dates et heures de l’intervention.

Le site https://www.sacrecoeurablon.fr est mis à jour régulièrement par Luc ORSERO. De la même façon, les mentions légales peuvent être modifiées à tout moment : elles s’imposent néanmoins à l’utilisateur qui est invité à s’y référer le plus souvent possible afin d’en prendre connaissance.

3. Description des services fournis

Le site https://www.sacrecoeurablon.fr a pour objet de fournir une information concernant l’ensemble des activités de l’établissement scolaire du Cours du Sacré Coeur.

L’OGEC du Cours du Sacré Coeur s’efforce de fournir sur le site https://www.sacrecoeurablon.fr des informations aussi précises que possible. Toutefois, il ne pourra être tenue responsable des omissions, des inexactitudes et des carences dans la mise à jour, qu’elles soient de son fait ou du fait des tiers partenaires qui lui fournissent ces informations.

Tous les informations indiquées sur le site https://www.sacrecoeurablon.fr sont données à titre indicatif, et sont susceptibles d’évoluer. Par ailleurs, les renseignements figurant sur le site https://www.sacrecoeurablon.fr ne sont pas exhaustifs. Ils sont donnés sous réserve de modifications ayant été apportées depuis leur mise en ligne.

4. Limitations contractuelles sur les données techniques

Le site utilise la technologie JavaScript.

Le site Internet ne pourra être tenu responsable de dommages matériels liés à l’utilisation du site. De plus, l’utilisateur du site s’engage à accéder au site en utilisant un matériel récent, ne contenant pas de virus et avec un navigateur de dernière génération mis-à-jour.

5. Propriété intellectuelle et contrefaçons

L’OGEC du Cours du Sacré Coeur est propriétaire des droits de propriété intellectuelle ou détient les droits d’usage sur tous les éléments accessibles sur le site, notamment les textes, images, graphismes, logo, icônes, sons, logiciels.

Toute reproduction, représentation, modification, publication, adaptation de tout ou partie des éléments du site, quel que soit le moyen ou le procédé utilisé, est interdite, sauf autorisation écrite préalable de : L’OGEC du Cours du Sacré Coeur.

Toute exploitation non autorisée du site ou de l’un quelconque des éléments qu’il contient sera considérée comme constitutive d’une contrefaçon et poursuivie conformément aux dispositions des articles L.335-2 et suivants du Code de Propriété Intellectuelle.

6. Limitations de responsabilité

L’OGEC du Cours du Sacré ne pourra être tenue responsable des dommages directs et indirects causés au matériel de l’utilisateur, lors de l’accès au site https://www.sacrecoeurablon.fr, et résultant soit de l’utilisation d’un matériel ne répondant pas aux spécifications indiquées au point 4, soit de l’apparition d’un bug ou d’une incompatibilité.

L’OGEC du Cours du Sacré ne pourra également être tenue responsable des dommages indirects (tels par exemple qu’une perte de marché ou perte d’une chance) consécutifs à l’utilisation du site https://www.sacrecoeurablon.fr.

Des espaces interactifs (possibilité de poser des questions dans l’espace contact) sont à la disposition des utilisateurs. L’OGEC du Cours du Sacré se réserve le droit de supprimer, sans mise en demeure préalable, tout contenu déposé dans cet espace qui contreviendrait à la législation applicable en France, en particulier aux dispositions relatives à la protection des données. Le cas échéant, l’OGEC du Cours du Sacré se réserve également la possibilité de mettre en cause la responsabilité civile et/ou pénale de l’utilisateur, notamment en cas de message à caractère raciste, injurieux, diffamant, ou pornographique, quel que soit le support utilisé (texte, photographie…).

7. Gestion des données personnelles

En France, les données personnelles sont notamment protégées par la loi n° 78-87 du 6 janvier 1978, la loi n° 2004-801 du 6 août 2004, l’article L. 226-13 du Code pénal et la Directive Européenne du 24 octobre 1995.

A l’occasion de l’utilisation du site  peuvent êtres recueillies : l’URL des liens par l’intermédiaire desquels l’utilisateur a accédé au site https://www.sacrecoeurablon.fr, le fournisseur d’accès de l’utilisateur, l’adresse de protocole Internet (IP) de l’utilisateur.

En tout état de cause l’OGEC du Cours du Sacré Sacre ne collecte des informations personnelles relatives à l’utilisateur que pour le besoin de certains services proposés par le site https://www.sacrecoeurablon.fr. L’utilisateur fournit ces informations en toute connaissance de cause, notamment lorsqu’il procède par lui-même à leur saisie. Il est alors précisé à l’utilisateur du site https://www.sacrecoeurablon.fr l’obligation ou non de fournir ces informations.

Conformément aux dispositions des articles 38 et suivants de la loi 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, tout utilisateur dispose d’un droit d’accès, de rectification et d’opposition aux données personnelles le concernant, en effectuant sa demande écrite et signée, accompagnée d’une copie du titre d’identité avec signature du titulaire de la pièce, en précisant l’adresse à laquelle la réponse doit être envoyée.

Aucune information personnelle de l’utilisateur du site https://www.sacrecoeurablon.fr n’est publiée à l’insu de l’utilisateur, échangée, transférée, cédée ou vendue sur un support quelconque à des tiers. Seule l’hypothèse du rachat de OGEC du Cours du Sacré et de ses droits permettrait la transmission des dites informations à l’éventuel acquéreur qui serait à son tour tenu de la même obligation de conservation et de modification des données vis à vis de l’utilisateur du site https://www.sacrecoeurablon.fr.

Les bases de données sont protégées par les dispositions de la loi du 1er juillet 1998 transposant la directive 96/9 du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.

8. Liens hypertextes et cookies

Le site https://www.sacrecoeurablon.fr contient un certain nombre de liens hypertextes vers d’autres sites, mis en place avec l’autorisation de l’OGEC du Cours du Sacré. Cependant, l’OGEC du Cours du Sacré n’a pas la possibilité de vérifier le contenu des sites ainsi visités, et n’assumera en conséquence aucune responsabilité de ce fait.

La navigation sur le site https://www.sacrecoeurablon.fr est susceptible de provoquer l’installation de cookie(s) sur l’ordinateur de l’utilisateur. Un cookie est un fichier de petite taille, qui ne permet pas l’identification de l’utilisateur, mais qui enregistre des informations relatives à la navigation d’un ordinateur sur un site. Les données ainsi obtenues visent à faciliter la navigation ultérieure sur le site, et ont également vocation à permettre diverses mesures de fréquentation.

Le refus d’installation d’un cookie peut entraîner l’impossibilité d’accéder à certains services. L’utilisateur peut toutefois configurer son ordinateur de la manière suivante, pour refuser l’installation des cookies :

Sous Internet Explorer : onglet outil (pictogramme en forme de rouage en haut a droite) / options internet. Cliquez sur Confidentialité et choisissez Bloquer tous les cookies. Validez sur Ok.

Sous Firefox : en haut de la fenêtre du navigateur, cliquez sur le bouton Firefox, puis aller dans l’onglet Options. Cliquer sur l’onglet Vie privée. Paramétrez les Règles de conservation sur : utiliser les paramètres personnalisés pour l’historique. Enfin décochez-la pour désactiver les cookies.

Sous Safari : Cliquez en haut à droite du navigateur sur le pictogramme de menu (symbolisé par un rouage). Sélectionnez Paramètres. Cliquez sur Afficher les paramètres avancés. Dans la section « Confidentialité », cliquez sur Paramètres de contenu. Dans la section « Cookies », vous pouvez bloquer les cookies.

Sous Chrome : Cliquez en haut à droite du navigateur sur le pictogramme de menu (symbolisé par trois lignes horizontales). Sélectionnez Paramètres. Cliquez sur Afficher les paramètres avancés. Dans la section « Confidentialité », cliquez sur préférences. Dans l’onglet « Confidentialité », vous pouvez bloquer les cookies.

9. Droit applicable et attribution de juridiction

Tout litige en relation avec l’utilisation du site https://www.sacrecoeurablon.fr est soumis au droit français. Il est fait attribution exclusive de juridiction aux tribunaux compétents de Créteil.

10. Les principales lois concernées

Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978, notamment modifiée par la loi n° 2004-801 du 6 août 2004 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés.

Loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique.

11. Lexique

Utilisateur : Internaute se connectant, utilisant le site susnommé.

Informations personnelles : « les informations qui permettent, sous quelque forme que ce soit, directement ou non, l’identification des personnes physiques auxquelles elles s’appliquent » (article 4 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978)

Message envoyé

Nous vous remercions de nous avoir contacté. Nous prenons connaissance de votre message et nous y répondrons très rapidement. 

A bientôt.